> Paris Métropole, mes commentaires sur la déclaration de l'UMP

Tout d'abord et en application de nos engagements les statuts ont été modifiés, dans le sens souhaité par les élus de la majorité présidentielle.
Elus qui savent parfaitement que des statuts ne peuvent en aucun cas faire référence à ce type de partage (alternance politique). Ils seraient irrecevable du point de vue légal. Interrogez le Préfet!
C'est donc uniquement le réglement intérieur qui fixe ces principes. Nous l'avons modifié le 10 juin toujours à la demande des élus UMP. Et la aussi il ne peut pas être envisagé de le formuler en termes "gauche" "droite". L'une et l'autre étant diverses, avec des élus appartenant à des partis ( souvent) mais parfois non.
Et concernant la prochaine présidence, après Jean Yves Le Bouillonnec , nous avons multiplié les déclarations publiques confirmant que le prochain président serait de la majorité présidentielle. Je l'ai fait au point de presse du 10 juin, déclaration d'ailleurs reprise par la presse. Tous les élus l'ont confirmé, y compris le maire de Paris.
C'est beaucoup d'engagements de la part de collectivités qui sont membres d'une structure à l'égard de celles qui n'en sont pas......
Par ailleurs et je regrette que personne ne le reprenne, mais du point de vue répartition politique des 174 collectivites potentiellement membres de Paris Métropole , nous sommes presque ( a deux ou trois unités près ) à égalité gauche/droite 50/50.

Par ailleurs nous voulons, et les élus de la majorité présidentielle le savent parfaitement, nous voulons être dans l'action immédiatement, et pour cela nous avons constitué un exécutif restreint autour de JY Le Bouillonnec, et un bureau à l'image stricte des adhérents actuel.
La répartition politique sera , évidemment revue au moment de l'entrée des collectivités de la majorité présidentielle , conformémént a nos engagements publics.
Pierre Mansat

Sur France 3 après la réunion de Paris Métropole

JOURNALISTE

Adoubé par Nicolas SARKOZY, chef d'orchestre d'un Grand Paris

annoncé, l'instance devrait s'étoffer d'élus de droite encore très minoritaires.

FRANÇOIS KOCIUSKO-MORIZET, MAIRE DE SEVRES, UMP

On a appris

à travailler ensemble, disons simplement qu'on avait

quelques divergences sur des problèmes de statuts qui faisaient qu'on ne

voulait pas y adhérer sans avoir des garanties et que nous sommes en train de

les obtenir.